Mélée

Je vois ces gros gaillards jouer et j’ai une pensée pour Michel, mon père, qui aurait tellement aimé voir la France gagner ce match de rugby, comme j’aurais tellement aimé partager sa joie. J’essaye de la faire mienne, même si je n’aime pas les manifestations sportives, même si je n’en aurais probablement rien eu à foutre s’il était encore vivant, et l’émotion et la tristesse se mêlent pour faire battre mon cœur un peu plus vite. La vie continue et il me manque tellement.


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