Ladis était tout content. Moi, je lui glisse entre les dents : « Ladis, il faut se tirer d’ici, je t’en supplie ». Enfin, je fais partir les films et dans les cinq minutes qui suivent, il y a un type du ministère qui vient me voir : «Alors, c’était bien ? Vous êtes content ? Bon, vous savez qu’on a un laboratoire très moderne à La Paz et nous pourrions développer vos films, comme ça, vous pourriez voir si tout est ok». Je leur ai dit : «bon, pourquoi pas?». Et je leur ai donné deux bobines vierges.
” Dans les coulisses de l’interview qui fit tomber Klaus Barbie.
Commentaires
2 réponses à “Le culot”
Franck > Oui, quel moment incroyable.
Surprenant et quel culos Ladislas de Hoyos a eu ce jour-là !