le roncier
since 1977
La pudeur des hommes est tellement belle parfois. J’ai appris que Gilles, mon rédacteur en chef à Vih.org, connaissait Barbara presque 3 ans après l’avoir rencontré. Ce n’est pas quelque chose dont on se vante, c’est visiblement un trésor, et on sent chez lui une certaine réticence à la raconter, par douleur peut-être, ou par peur de trahir sa mémoire. Barbara, le couloir, les malades, le terrain. Les médecins, la cause publique, les journalistes. Les prisonniers. Sa lutte contre le sida. A lire sur Minorités.
Publié
dans