[L]a dé-francisation du nom de famille n’est pas possible : le Service du Sceau au ministère de la justice, qui s’occupe de ces changements de noms de famille, a développé une jurisprudence très restrictive qui interdit de prendre un nom étranger. Certains descendants de migrants d’Europe de l’Est, souvent juifs, qui avaient pris, après 1945, des noms de famille francisés cherchent aujour d’hui à reprendre ces noms d’origine.
” La défrancisation, Baptiste Coulmont.