Addiction à l’écriture

Selon Anaïs Saint-Jude, ce fut une époque, comme la nôtre, d’hyper-écriture, et même d’addiction à l’écriture. Madame de Sévigné a écrit 1120 lettres à sa fille qui vivait en Bretagne, entre 1670 et sa mort en 1696. A cette époque, les rues de Paris étaient jonchées de morceaux de papier : les billets (ou libelles) sur lesquels quelques phrases scabreuses ou politiquement diffamatoires étaient jetées au public. Ca ne vous fait pas penser à Twitter ? demande Haven.

 » Les nouveaux médias sociaux ne sont peut-être pas si nouveaux que ça, sur les nouvelles formes de communication en Europe au XVII et XVIIIe siècle.


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